Histoire des techniques

 

 

15/11 22:16 ian.reino:» » L'électricité suite N° 10

 

On peut dire que ces trois personnages VOLTA AMPERE OHM sont à l'origine de la création d'une énergie, nouvelle pour cette époque et qui nous parait tout à fait normale actuellement, comme si elle avait toujours existée ; quand elle s'absente nous sommes perdus.
et alors que d'imprécations !!!!!!!!!!!!!

On doit considérer qu'ils furent le trio le plus célébre du moment ; par la suite on en a eu un autre, non moins célébre, et que presque tout le monde a fréquenté, je pense qu'il est inutile de le citer car, autant le premier, par ses têtes fut un adepte du cuivre, autant le second, par ses pieds, fut un adepte du nickel !.

Satisfaits de leurs essais, mises au point, expériences, réflexions, déductions, conclusions, et tous les ions ions que tu voudras, nos trois lascars se retrouvèrent un soir sur le web pour que,enfin réunis par la magie des ondes, ils puissent faire le point et se concerter sur la suite à donner à cette aventure ;
VOLTA qui était Italien tapa : à ce fluide il faut lui donner un nom !
AMPERE qui était Français de Ménilmuche tapa : les mecs à la Mauricette ont commencé par électrace puis électrice......
OHM qui était Allemand, donc orateur comme certains d'entre eux,on en a connu un, prit la parole, et il aimait phraser, en ces termes : "au point où nous en sommes je crois qu' en premier lieu il faut donner à ce phénoméne nouveau un nom qui lui convienne et qu'alors, de l'avant il nous faudra aller ".

 

A ces mots, tous les internautes, derriére leur écran, les yeux exorbités, larmoyants, rouges du fait de l'attention inexorable qu'ils portaient à ce qu'ils voyaient sur leur machine : ce que racontaient ces trois bonshommes sur la probable et imminente naissance d'une énergie qui allait leur apporter la possibilité d'entrer en contact avec tous les peuples de la terre,sentant en conséquence qu'il y allait de leur avenir de leur bonheur (hé ! ca y est t'as fini...allez...accouche !!!!!!) se dirent il faut les encourager, alors, comme ils l'avaient vu faire et entendu faire par les supporters de l' O.M., de taper avec frénésie pour ne pas dire hystérie (non, pas hystéresis, on n'en est pas encore là) sur leur clavier :

ALLEZ ALLEZ ALLEZ ALLEZ ALLEZ ALLEZ ALLEZ

 

ils furent contents nos trois trouveurs de voir l'enthousiasme qu'ils suscitaient :

Ampére reprenant son idée premiére dit : on ne peut tout de méme pas appeler cela de

l' electriçallez. C'est alors que Volta qui était Italien donc tout ce qu'il y a de plus latin eut une idée lumineuse (bien sur) qu'il développa ainsi : en latin "aller" se dit : éo pour "je vais" "is" pour "tu vas" et à l'impératif "allez" se dit "ité" : c'est donc trés simple, pour contenter tout le monde, on a qu' a prendre électrice et ajouter ité comme tous ces tapeurs de clavier le réclament, ainsi fut fait :

ELECTRICITE était née.

 

oufffff ! c'est pas un accouchemennt c'est une césarienne !!!!!

et l'Allemand dit : gutt ya wohl ! (orthographe ?)

Alors, tel Astérix, ils se tapérent un coup de cervoise

Aprés cette laborieuse naissance, chacun de nos trois électric'men prit un congé parental bien mérité et qui était de régle selon leur statut de trouveur, ce que leur avait confirmé leur syndicat intitulé : communauté généreuse des trouveurs, le Français alla sur la côte selon l'habitude,depuis la fabrication d'Eve il ne pouvait plus s'en passer, l'Allemand alla sur la Seine c'était une manie, l'Italien alla sur le pô selon ses besoins.

 

à suivre......
I.R. et O'JOUR d'HUY

 

 

16/11 22:51 ian.reino:» » L'électricité suite N° 11

 

Pendant qu'ils sont en congé, je te parle d'autre chose, ça ne sort pas du contexte mais pas la méme technique, c'est ce providentiel verbe "aller " qui m'y a fait penser........oui ce verbe aller c'est une belle vacherie pour un étranger... tiens..... chte raconte.... j'imite :
Le Français à l'Etranger : conjugue le verbe aller à l'indicatif présent
L'Etranger : j'alle
Le Français : non ! : je vais..... continue
L'Etranger : tu alles
Le Français : non ! : tu vas..... continue
L' Etranger : il alle
Le Françajs : mais non : il va...... ensuite
L'Etranger qui a compris :nous vont
Le Français.. nerveux : nous allons..... après.
L'Etranger qui croit avoir compris : vous vez
Le Français....de plus en plus nerveux : VOUS ALLEZ.......termine
L'Etranger qui en a marre : ILS ALLES..!!
Le Français dédaigneux : c'est malheureux.....ces étrangers ils comprennent rien du tout, c'est pourtant simple !
et encore je ne lui ai pas parlé du futur !!
L'Etranger vexé : vous.....les Français, vous ne savez jamais ce que vous voulez !!!!!
Ah ! tiens le verbe vouloir, ça aussi...

 

OH ! éH ! TU CROIS PAS QUE çA SUFFIT AVEC LA GRAMMAIRE LES VERBES ET TOUT LE TINTOIN AVEC LES ETRANGERS TU FERAIS MIEUX DE SURVEILLER TON ORTHOGRAPHE ET DE CONTINUER TON ELUCU... CU.. CU... TON.... TRUC COMME TU DIS....

 

Bon... bon.... ça va je continue

 

Avant de continuer je résume, toujours avec l'analogie de l'eau (... féru gineuse,hic !) : on peut dire que l'eau (élément support en volt - qui descend de la montagne - pile- est freinée en frottant sur son lit et à travers les rochers -résistance en ohm- apporte la force de son courant - intensité en ampére - nécéssaire pour faire tourner le moulin à grain.

Ils ne purent pas rester bien longtemps à seulement penser, car c'est bien connu, lorsque, voué à l'inaction, quelque chose vous trotte dans la téte on pense sans arret et les doigts vous démangent (commence pas à avoir des idées saugrenues, jte connais, : tout de suite tu penses à la gaudriole)..... rester loin de leur laboratoire respectif leur devenait insuportable, alors chacun retourna à son lieu préféré. (oui il y en a des comme ça qui préférent leur lieu de travail à leur lieu de vacances !!! on sait pas bien pourquoi !!! je veux pas me lancer dans les suppositions pour pas m'attirer des ennuis !!!! c'est quand méme bizarre, mais il faut bien qu'il y en est, si on veux taper sur nos machins.

Volta, revenu dans son lieu de prédilection, commença a rassembler les différents objets qui allaient lui être nécessaires pour mettre au point la réalisation à laquelle il n'avait cessé de penser lors de ce qu'il appelait sa pénitence.

 

C'est bien joli tout ça, c'était-il dit, mais on est complétement dans le cirage : on a fait une étincelle, que j'ai appelée volt et qu'on a baptisé électricité, mais à part l'étincelle on ne voit, on ne sait, on ne connait rien d'autre ; il me faut un appareil qui parle, qui manifeste la présence de ce fluide..... Il connaissait le directeur, ils étaient devenus amis car cette personne avait débuté, elle aussi, en cherchant et avait souvent profité des conseils de Volta,... directeur d'une importante fabrique de fil en tous genres, cette usine devait sa notoriété au fait que ses ingénieurs aprés de longues études avaient mit au point un fil spécial qui s'appelait : acoupel beur, ça n'avait absolument rien de racial, cela avait été commandé par un fabricant de matiére grasse qui, lorsque cette derniére était en motte, il avait des problémes poir la livrer au détail......
Volta avait demandé qu'on veuille bien faire pour lui un fil le plus fin et le plus long possible en métal enveloppé avec quelque chose : du papier ou du coton ou de la laine, bref avec ce qu'ils voudraient. Ainsi fut fait, et Volta eut son fil !

 

à suivre.....
I.R. et O'JOUR d'HUY

 

 

21/11 23:27 ian.reino:» » L'électricité suite N° 12

 

Avec ce fil il se dépécha de faire une grosse bobine évidée en son centre,........ tous ces penseurs,inventeurs, trouveurs, il fallait qu' ils soient bricolo à cette époque, pas question d'aller à Casto chercher du tout prêt,.... regarde Dieu 1er s' il n'avait pas été bricolo, avec sa cotelette d'Adam.....hein!.....il avait plus qu'à se la mettre au grill pour son souper.......

 

Volta fit sa bobine et, en douce barbota à sa femme qui était couturiére, deux aiguilles ( tu sais ces machins trés pointus d'un bout et percés d'un trou à l'autre bout pour placer un fil.... oui, t'énerve pas.. je sais.... tu vas te redresser et me siffler a la figure, d'un air outragé et supérieur : j'suis quand méme pas con au point de pas savoir cque c'est qu'une aiguille à coudre..... calme toi, je sais bien que tu sais, mais il était nécessaire que je place cette précision..... il a donc barboté deux aiguilles en os,.... ah excuse moi, encore une précision : les aiguilles étaient encore en os parce que ce n'est que cinquante cinq ans plus tard en 1855 que Sir BESSEMER - maintenant on dit niquemére- 1813-1898 industriel et métallurgiste anglais mit au point son procédé pour faire de l'acier..... sur une de ces aiguillles Alex colla en son milieu avec de la cire un petit morceau de métal, dans le trou il introduisit à quatre vingt dix degrés la pointe de l'autre aiguille fixée à la cire, plaça l'ensemble, partie aigui+métal,dans l'évidement de la bobine,.... sous l'autre aigui, à 90 de la premiére, il plaça un morceau de papier sur lequel il fit des marques assez espacées avec,.... au pif...... 1.... 2.... 3.... il raccorda chacune des extrémités de la bobine à chacune des extrémités de sa pile.........l'aiguille en os, de sa couturiére de bonnefemme, bougea et vint se placer sur le chiffre 2. Volta traduisit aussitot : de ma pile il sort 2 volts de fluide électricité ; il avait réalisé le premier appareil de mesure électrique et c'est ainsi qu' à partir de ce jour tous les appareils furent munis d'un indicateur qu'on appela aiguille en souvenir de maman Volta et en souvenir d'un Grec nommé ANAXIMANDRE 610-547 avant J.C..... hein ? qu'est ce qu'il y a encore?....... mais non jme suis pas trompé... ça marche à l'envers puisque c'était avant J.C..... jte jure, tu comprends rien.... t'es pénible tu sais !......j'espére qu'au moins tu sais quii c'est J.C. ?... J'tavertis.... ne me parle pas de la télé !!!...... oui, Anaximachin c'était un philosophe, ces mecs là ça pense, encore, peut-être méme plus, que les autres mais c'est moins bricolo, donc Anax avait observé, en plus de penser, que si un homme restait debout, au soleil, avec un chapeau bien sûr, toute une journée sans bouger.... tu parles il fallait une sacrée dose de philosophie !!!...... son ombre décrivait un cercle ( enfin, tant qu'il y avait du soleil...... à cette époque il durait peut-être plus longtemps que maintenant ! ) il remplaça le bonhomme à moitié évanoui par un morceau de bois planté dans le sable,qu'il appela "le gnomon", remarque qu'il y a une certaine analogie quand on parle de certains êtres appelés gnomes,..... je m'égare..... je m'égare.... tu pouvais pas me prévenir!!!!.... Ah bon t'es vexé !...

 

oui, avec son copain THALES,mathématicien bien connu, pére de l'algébre et de son fameux théoréme, et autour de son bout de bois planté il traça, sur le sable un cercle qu'il divisa en quatre secteurs ou quarts et à ce tracé il donna le nom de cadran parce qu'en latin quart se dit quadrans et ce fut le cadran solaire dans lequel Thales détermina exactement la position des heures...... je reprend mon propos abandonné : en souvenir d'Anaxi on appela les supports d'inscriptions dans tous les appareils de mesures à lecture directe : le cadran. ça a évolué pas mal ça aussi, maitenant on lit directemant les chiffres. Volta essaya sur toutes les piles dont il disposait, pour toutes il optint la méme valeur : 2 ; par la suite d'autres constructeurs firent des piles, telles que celles actuelles, dont un élément donne, tous, : 1,5 volt...... Il inversa le racordement de sa bobine sur sa pile : l'aiguille sur son cadran s'orienta dans le sens contraire, il conclue le fluide passe dans un certain sens,c'est comme la riviére, elle part d'un point haut - source - pour c'écouler vers un point bas en dispensant tout au long de son cours l'énergie qu'elle transporte, je considére ma pile comme telle et à sa source, où elle est le plus vigoureuse, une extrémité de la pile je donne le signe + et à l'autre le signe --.

C'est ainsi que Volta fit le premier voltmètre, d'une manière décrite, de ma part, un peu rudimentaire et aléatoire mais qui, pour moi, en place l'existence.

Dans le méme genre d'idées, en changeant la grosseur du fil ou de la bobine ou de la façon de les brancher, Ohm fit son ohmmètre et Ampére son ampéremètre qui, à l'époque était galvanomètre.

 

à suivre..... I.R. et O'JOUR d'HUY

 

 

22/11 22:36 ian.reino:» » L'électricité suite N° 13

 

Par la suite, on a su qu'en réalité, ce fluide était un ruissellement d'atomes composés pour chacun d'eux d'électrons; lorsque l'un de ces malheureux atome perd un électron comme toi tu perds ton portefeuille, il devient furax positif, et quand il reçoit un électron comme toi un pot de fleurs sur la tête, il devient assomé négatif ; dans le premier cas il s'appelle cation et dans le deuxiéme anion....... Je ne vais pas te raconter tous les ions ions qui existent,d'abord parceque j'en suis incapable,il faut être vraiment dans le coup, il y en a des !. Si ça t'intéresse vraiment tu ouvres une en cyclope....... j'appelle ces affreux bouquins comme cela en deux mots parceque ce sont les machins dans lesquels tu jettes un oeil, si tu es intelligent tu piges tout de suite ( si t'étais si intelligent t'avais pas besoin de tripoter ce machin ) si tu es normal--- remarque la nuance----- au bout de la quatriéme lecture tu ramasses ton oeil et tu penses à autre chose.

Je pense que dans la sphére où tu gravites tous les jours, les ions ions autres que ceux qui te sont utiles tel electricité sont pour toi, comme pour la plupart des êtres normaux, le cadet de tes soucis.

Ah! tiens, en passant, " la sphére ", ça c'est beau, moi je trouve, c'est une des figures de la géométrie la plus attrayante, c'est plus agréable qu' un carré rectangle triangle lozange qui ont des pointus tout le tour du ventre, une sphére c'est bien rond, velouté, agréable à voir, à toucher, le creux de la main s'ajuste exactement à sa forme, l'un l'autre sont complémentaires, c'est un peu comme les bisous avec un S, tu sais je t'en ai déja parlé, bien lippus, avec une belle paire de sphéres c'est fait pour se rencontrer.

J'erre. Je me trompe de sujet. c'est étonnant que je ne me sois pas fait rappeler à l'ordre.

 

Pour revenir à nos bonshommes je dois ajouter que Ohm mit en évidence les notions de quantité et de force éléctromotrice, et que Ampére jeta les bases du télégraphe et de l'électroaimant.

 

Quand on parle électricité on a curieusement pris l'habitude de dire "le courant" : mettre le courant, couper le courant, le courant est coupé, yapu d'courant, et, si en méme temps on vous demande : quel est le courant chez vous, vous répondez : 220 VOLTS ! vous me cassez mon exposé puisque j'ai dit que le courant s'appelle AMPERE,..... non pas tout à fait, mais on devrait dire voltage dans ce cas là, il y en a qui le dise, peu !..... oui, pas tout à fait : si on retourne au bord de la riviére ( électricité) dont l'eau (support volt) coule avec sa force ( courant ampére) faisant tourner le moulin, on est beaucoup plus sensibilisé ou subjugué par la force dite courant que par le support dit eau d'ou la tendance à dire courant pour désigner un voltage, c'est une expression due au mental influencé par un résultat, plus qu'une expression technique. Il y en a aussi qui dise le "jus" : mets le jus, yapud'jus etc.... je ne sais pas pourquoi, mais probablement une analogie avec le liquide en l'occurence l'eau, mais déja, ça fait pro et ça englobe les volts et les ampéres !.

Tiens pendant qu'on est au bord de l'eau....... hein ?..... ah tu as retrouvé la parole t'es plus vexé !!!!!........ mais non on va pas se baigner.... t'en rate pas une quand il y a une possibilité de lever le nez !........ça ça me rappelle mon grand -pére quand il me faisait faire mes devoirs de vacances,ils avaient le culot d'appeler ça des vacances..........non non ne te tracasse pas il y a encore de la famille réserve-souvenir.......Columbo fait bien référence à sa femme !... alors ! hein !....... oui pendant qu'on est au bord de la riviére : l'eau coule inéxorablement avec sa force tranquille faisant tourner un deux trois moulins et continue son chemin de son méme mouvement continu, on peut dire que c'est, comme cette électricité, un courant continu...... je suis content de l'avoir placé celui-là.....

 

à suivre..... I.R. et O'JOUR d'HUY

 

 

23/11 23:53 ian.reino:» » L'électricité suite N° 14

 

La tôle galvanisée, l'argenterie quand elle n'est pas en argent massif, le métal chromé, nickelé, la dorure, toutes ces choses que l'on côtoit chaque jour on les doit, quant à leur état de surface, à l'électricité ; c'est Monsieur FARADAY Michael 1791-1867 qui mit au point un procédé appelé electrolyse qui permet de faire déposer des particules d'un métal sur un autre métal : pour cela il mettait de l'eau dans un récipient qu'il appelait voltamétre - pour faire plaisir à son copain Volta,dans cette eau il collait une saloperie de mélange de sel d'acide de corps encore plus dégueux, dans ce cocktail, aprés l'avoir goutté avec une petite cuillère en bois pour qu'elle résiste, il fourrait, d'un côté du bac le corps receveur et de l'autre le corps donneur --- j'ai pris quelques libertés d'expression quant aux verbes employés car ils me semblaient plus appropriés ainsi, étant, eux mémes,oxydés, appelés à être confrontés à un milieu oxydant --- sur l'un de ces corps il mettait un pole de ses piles et sur l'autre l'autre et fouette cocher t'envoie le jus---- excuse moi dans mon enthousiasme je me suis un peu laissé aller. alors là....chte dis pas.....dans la turbulence de cette grenouillère, les ions les neutrons les croupions les anions les cations ( l'ancien) les avions, ça ce mettait à s'agiter, les uns voulant prendre la place des autres les autres ne voulant pas se séparer des uns etc... et quand tout ce beau monde se calmait le donneur était complétement dépoilé et le receveur complétement argenté quand le donneur était de l'argent. Ce procédé par électrolyse s'appelle la galvanoplastie. Cest pour cela qu'on dit : " de la tole galvanisée" lorsqu'elle est recouverte de zinc, on devrait dire alors "tole zinguée", mais elle peut trés bien être galvanisée avec un autre métal : tu mets ta tole en fer d'un coté, ton ce que tu veux envoyer de l'autre, par exemple un bout de zinc, tu mets de la tension sur tout ça, et les petites graines de zinc de se précipiter sur la tole qui se laisse fer, c'est un peu comme l'amoureux (mais non !....pas Robert...)... lorsque le courant passe jte saute sur la bonne amie qui aussi se laisse fer et vas-y que jte graine ! il n'y a qu'une différence : dans le premier cas les graines sont définitivement fixées alors que dans le deuxiéme ça ne marche pas à tout les coups surtout quand il n'y a plus de courant, dans le premier cas aussi !.

Si tu as envie de te mettre à ton compte pour faire de la galvanoplastie tu as intêret à ouvrir une bicyclopédie car il te faudra bien tes deux yeux pour absorber comprendre et ne pas risquer d'empoisonner toute ta famille. Bon courage !.

 

TU POURRAIS PAS CHANGER UN PEU DE SUJET... ON N'EST PAS GALVANISE PAR TON TRUC.... ON EST PLUTOT ELECTROLISE........

jte résume : Y EN A MARRE !!!!!!!.

 

Bon, d'accord, je change de bonhomme,si on peut dire, puisque je reviens à Ampére mais c'est nécessaire pour revenir à Faraday ensuite.

tu sais que tu nous fait souffrir ! yme semble être revenu à l'école !

----- écoute...... je vais te le dire encore une fois : poliment parceque je ne veux pas m'énerver :si ça te plait pas ce que j'écris tu vas....... ah ! bon ça y est.... alors je continue :

 

Ampére, avec sa ptite bobine---mamére--non non il n'en avait pas du tout l'air-----loin de là--avec laquelle il avait fait son ampéremétre, avait fait d'autres expériences : en son milieu -de la bobine--il avait mis un barreau de fer,et lorsqu' il la branchait sur sa pile, le barreau attirait toutes les limailles de fer qui, comme d'habitude,subsistent sur tout établi de bon bricolo. C'était comme ça qu'il avair inventé l'electroaimant et en avait conclu que pour faire cette attirance sur la limaille il y avait surement eu un champ magnétique, de là il jeta les bases de l'électromagnétisme.

 

 

 

24/11 22:01 ian.reino:» » L'électricité suite N° 15

 

Nous vivons dans un champ magnétique permanent : le champ magnétique terrestre que nous avons tous constaté grace à l'aiguille aimantée de la boussole,nous mémes sommes environnés d'un champ qui nous est propre, d'ou les attractions qui se produisent entre individus de sexe différent et par conséquent de polarité diffférente--- oui j'ai oublié de l'écrire, Ampére avec ses trucs aimantés, s'était aperçu que si on mettait en présence des machins aimantés les poles de méme nom ( + + ou -- -- ) se repoussaient et les poles de nom contraire ( + -- ) s'attiraient ----- je reviens aux individus qui sont semblablement attirés sans toutefois préciser lesquels sont positifs et lesquels sont négatifs....prudence oblige ! De là tous les coups de foudre, on a appelé cela comme ça bien que ce soit une des premiéres manifestations amoureuses qui soit la plus silencieuse et la plus invisible ------ tout au moins au début --- comme tout champ magnétique.

 

On raconte qu'en favorisant le passage du flux magnétique dans le sol ce qui devient des ondes telluriques, on fertilise le sol et on obtient des rendements de production supérieurs avec de bien plus beaux produits ; pour cela on installe dans le sol des fils de cuivre espacés d'environ trente cms. à une profondeur de quarante cms. orientés nord sud regroupés au point nord sur une sortie de terre en forme d'antenne captant les ondes, et regroupés au point sud sur une sortie de terre également en forme d'antenne mais orientée à l'inverse de l'antenne nord pour favoriser la sortie, et par là, le passage des ondes dans le sol. N'ayant jamais expérimenté ce systéme je le donne sous toute réserve, mais je crois que c'est un peu comme dans la fable du laboureur et ses enfants qui, à force de retourner la terre du jardin familial pour y trouver le soi disant trésor que le père leur avait dit, avant sa mort, y avoir caché, ont pas leur action aéré allégé et par là fertilisé le terrain qui l'année suivante leur a apporté le trésor d'une récolte jamais égalée...... malin le vieux !

 

TU VAS PEUT-ETRE NOUS RACONTER LA FONTAINE MAINTENANT

PENDANT QU'ON EST DANS LES FABLES,POURQUOI PAS ESOPE PENDANT QUE TU Y ES !!....

 

on peut dire que t'es cassepieds, dés qu' on fait une fantaisie tu grognes, d'autant que c'est assez mal venu car je ne sortais pas tellement du sujet..... ah! oui le laboureur... cque t'es susceptible..... t'as cru que j'allais encore parler de ta culture de la campagne..... écoute voir,... si tu supportes pas, t'as qu'a débrancher ton sonotone ou te fourrer des boules qui est-ce dans les portugaises !!!!

 

Allez on va pas s'apesantir plus longtemps, non mais !, je continue

 

Ah ! zut !! j'ai complétement oublié que j'étais en train d'écrire....... tant pis...il aura qu'a se mettre des lunettes qui est-ce ( c'ast le cas de dire ) avec les verres en tôle galvanisée, bien-sur, pour pas que ses larmes de crocodile vitrioleux attaquent le fer de la tôle !....

Donc Ampére s'était amusé à faire plusieurs expériences avec ce magnétisme, entre autres il avait fabriqué des aimants....---- non, pas des amants, il y en avait,déja, pas besoin d'Ampére pour ça......---- des aimants de toutes les formes : droit, tordu,rond, en fer à cheval c'était le plus prisé à l'époque, il n'y avait pas encore de tabac, et ça avait, quant à la forme, un tel succés du au rapprochement fait avec le moyen de locomotion de l'époque, un peu comme la roue de secours avec ton tas de tôles-- galvanisées-- excuse moi mais quand on est dans la tôle on y reste,c'est un peu comme la prison --------oui, en fer à cheval, si bien qu'entre les deux extrémités de cet objet il pouvait placer sa ptite bobine, enroulée cette fois, autour d'un morceau de fer, et à laquelle il avait raccordé le voltemétre de son copain Volta ; grace à la souplesse des fils de jonction il put faire faire rapidement deux tours à sa bobine ainsi placée, pendant le mouvement l'aiguille du voltemétre bougea : il en déduisit qu' en faisant tourner une bobine, lestée, dans un champ magnétique ( l'aimant) on produisait de l'électricité. Il venait d'inventer le principe de la dynamo. Le champ de l'aimant induisait (extrait du latin : in=dans et ducere=conduire --- donc conduire dans, entrer dedans, dans le fer de la bobine un champ que le mouvement de rotation transformait en fluide électricité. C'était le champ du départ de la fabrication de l'électricité.

 

 

27/11 22:45 ian.reino:» » L'électricité suite N°16

 

Ce n'est que plus tard en 1871 que monsieur GRAMME Zénobe-ouaill ! inventeur Belge 1826-1901 cnstruisit la premiére dynamo industrielle. Il s'inspira de la trouvaille d' Ampére concernant la production d'électricité par mouvement d'une bobine dans un champ et se dit : une bobine passant dans le champ donne une impulsion au moment ou son noyau passe entre les deux poles de l'aimant et aprés plus rien jusqu'à ce que de nouveau elle y repasse, s'il y avait une succession de bobines passant de cette façon il n'y aurait plus d'interruption dans la production du fluide : je prends une roue en fer, je fais des évidemments sur sa périphérie pour loger autour des fers restant entre chaque évidement une petite bobine de fil et ainsi de suite circulairement, cette roue traversée en son centre par un axe, axe reposant sur des paliers, l'aimant, avec, lui aussi,un enroulement de fil autour du corps pour assurer en continuité sa production interne de magnétisme, --- entourant de ses poles, la roue------- alors là, à ce stade de réalisation : probléme !!

 

Hé !.... grognon !.... t'es content ?.... je suis dans le sujet maintenant...... ça te va ?..... éh ! hé bien réponds..... éh bien vrai.....il dort ! pas la peine de se donner du mal.....!!!!!

Oui, mon Gramme avait, un probléme de poids : toutes ces petites bobines sur cette roue sur cet axe, chacune avec deux fils, ça c'est embétant, que faire de ces bouts de fil pour pouvoir les utiliser ? Comme on dit en politique quand il y a une question embarassante :ça c'est une bonne question je vous remercie de me l'avoir posée ( faux cul ! va ) il se l'était posée à lui méme alors pas de faux ni de vrai, il fallait trouver, ce qu'il fit. Il inventa le collecteur, comment ça marche ?------ tu sais, à la télé, il y a un type ( je veux pas tout le temps dire un mec parce qu'on va me dire que quand on écrit faut surveiller son langage,on devrait dire plutot son écrivage, et puis on pourrait croire que je veux imiter Coluche )....oui, un type à la télé, tu lui dis n'importe quel appareil, phénoméne, bizarerie il te répond : comment ça marche ? je n'ai jamais bien su s'il posait la question parcequ'il ne savait pas et comme évidemment on ne répondait pas il inventait n'importe quoi, ou si pitié de nous pauvres avez il se défonçait pour nous donner une explication,........éh bien par moment je me demande s'il m'a pas filé un enfant de son virus ou macédonien. ça commence à m'inquiéter, d'autant plus qu'ils m'ont sollicité pour le remplacer quand il va partir en retraite...de russie, bien sur.

 

Qu'estcequetenpense ? de la sollicitécheune..... pas de la comparaicheune !.. hein ! j'ai quelques connaissances en, je crois, Anglais.... yes.. yes.. tu vois en Anglais je fais pas de fautes c'est pas comme en Français, faut dire aussi qu'ils n'ont pas facilité les choses avec notre baratin, je te l'ai déja dit avec le verbe aller, en plus il y a tout ces piéges de participe, tu sais jamais si il faut un s ou un t ou un e ou un x ou un rien du tout, la terminaison des verbes à chaque personne du pluriel du singulier de l'impératif O lala ! les accents ça aussi c'est de la saloperie tu sais jamais : grave aigu circonflexe, moi j'ai adopté un systéme : je mets aigu partout quand j'y pense, c'est le plus accessible sur le clavier ! chacun rectifie à son goût, là encore j' ai voulu faire le malin avec le circonflex mais je parie que c'est encore pas ça !.... Faut dire qu'il y a des années que je n'ai pas écrit, à part une fois par an au mois de février,-- cette année c'est le mois de mars jusqu'au trente et un c'est vraiment le poison d'avril ( il y a bien un s mais c'est pas comme le bisou, tu te rends compte : un bisou avec deux ss et un b pas un p, ça serait encore plus lippu )-- sur du papier teinté et encore c'est pour y mettre des chiffres.... que dis-je des nombres avec le moins de chiffres possible, alors, j'ai soit des hésitations soit des absences. Tu vas me dire pourquoi ecris tu ( si tu es moins relécheune tu vas dire : pourquoi qu't'écris ) si çela te complique à ce point ?... Eh bien, te dis je,-- ma chère---- je me suis fait cravaté en me baladant sur un forum par un tapeur de clavier qui demandait un renseignement sur un appareil électrique que je connaissais, je lui ai répondu, il demandait aussi d'autres renseignements, sur ce sujet, pensant pouvoir les lui donner en quatre ou cinq lignes, je me suis embarqué dans une histoire oû, d'un mot à un autre, entrainé et broyé dans un engrenage sans fin comme un vice, j'aligne une succession de mots pour arriver à donner une explication qu'une personne intelligente aurait baclée en deux lignes. Pour étre honnéte...... : j'ai le temps, ça m'occupe et ça m'amuse, ce n'est quand méme pas de la philantropie ( un petit peu, quand méme, je ne suis pas un sauvage----- Hé!!çA DEPEND AVEC QUI !!!TES CHEVILLES ELLES GROSSISSENT PAS UN PEU BEAUCOUP SI Y EN A QUI TE CROIENT J'EN FAIS PAS PARTIE !!!!!------ ah! tiens tu es réveillé, moi qui me craoyait tranquille ------ C'EST PAS UNE RAISON POUR DIRE DES CONNECTERIES J'T AI A L'OEIL QUAND MEME JE FAIS SEMBLANT DE DORMIR !!!

 

 

28/11 19:05 ian.reino:» » L'électricité suite N° 17

 

Le collecteur comme son nom l'indique collecte, regroupe, rassemble tel le grand égout collecteur rassemble tout ce qui ruisselle dans tous ces petits ruisseaux colorés et odoriférants que l'homme et la nature se chargent d'alimenter de leurs...--- HO ! EH QU' EST CE QUI TE PREND TU DEVIENS POETIQUE SENTI MENTAL C'EST PAS PARCEQUE TU PARLES DE RUISSEAUX QUE LES ODEURS SONT DE PRINTEMPS --- ON A COMPRIS ---- GLISSE !!!!! ---- oui, je me suis laissé emporter par le flux --------- donc, c'était bien l'idéal pour tout ses bouts de fils. Un cylindre en bois ou méme en ambre fit l'affaire,sur toute la périphérie il colla en les espaçant légérement, des morceaux de cuivre, deux pour chaque bobine chacune ayant deux extrémités de fil, le cylindre enfilé sur l'axe et collé contre la roue à bobines, chaque extrémité de fil de chaque bobine reliée judicieusement à chaque morceau de cuivre, un étrier dont les extrémités encadrent diamétralement le cylindre et supportent chacune ce qu'on a appelé un charbon, et aussi balais, isolé électriquement du corps de l'étrier, mais par lesquels, frottant sur les morceaux de cuivre du collecteur, on recueillera le fluide électricite créé lors de la rotation du monstre. en bout de l'axe un bonhomme qui pédale pour le faire tourner ou le moulin à grain du bord de la riviére entrainé par l'eau, et, grosso modo, la dynamo est génératrice d' un fluide qui n'a plus d'interruption,qui est continu c'est une génératrice de courant continu d'électricité..... L'énergie électrique est produite par la transformation de toute autre énergie, qu'elle soit mécanique, chimique, calorique, solaire, "ventaire", aquatique etc..... Mais si tu as l'intention de fabriquer une dynamo regarde, quand méme avant, une bicyclopédie.

 

Bien avant Monsieur Gramme, à peu prés en méme temps que Volta Ohm et Ampére, il y a eu Monsieur Watt James 1736-1819 Anglais et physicien, il était plutot tracassé par les problémes de machine à vapeur pour lesquelles il avait fait plusieurs inventions, la vapeur était pour lui une force ( les premiéres voitures furent propulsées à la vapeur ) d'ou une notion de puissance à laquelle il voulut donner une unité d'ou un nom. En 1784 il créa le cheval-vapeur parcequ'il avait calculé que les plus forts chevaux de Londres pouvaient fournir un travail capable de soulever une charge de 15 tonnes à 30 cms au dessus du sol pendant une minute,ce qui représentait une énergie de 75 kilogramétreseconde. ( soulever 75 kg à 1 métre en 1 seconde ) essaye, si tu le fais tu es un vrai cheval Londonien !!

On mélange assez volontiers les notions de puissance et d'énergie, la puissance c'est instantanné, l'énergie c'est une puissance accompagnée d'un temps : tu vas dans un super faire tes provisions tu remplis ton sac qui est par terre au moment où tu le souléves tu développes une puissance, pour le porter chez toi il te faut dix minutes ou une demie heure tu consommes une énergie comprenant la puissance et le temps pendant lequel il a fallu développer cette puissance ; ton frigo a une puissance de 1000 watt et en une heure il consomme une énergie de 1000 watt/heure.

La conjugaison de l'eau ( volt ) avec son courant ( ampére) donne la puissance ( watt )qui fait tourner le moulin ou n'importe quoi ; c'est ce que Watt avait conclu et avait donné son nom à cette puissance qui utilisée pendant un certain temps devient une énergie ( watt/heure ).

Aprés Monsieur Watt il y eu Monsieur JOULE James 1818-1889, son job était les quantités de chaleur dégagées par les courants électriques, je te le cite pour mémoire car c'est rare qu'au tabac du coin, quand tu vas chercher ton newspaper et ton poison impoétatique la buraliste te dise : " y a mon courant qui fait des effets Joule et je suis obligée de laisser l'effet se faire !".... Dommage..hein ? Hé! QU' ESTCE QUI TE PREND TU NOUS A FAIT COURIR A TRAVERS CHAMPS PENDANT DEUX PAGES AVEC TON AMPERE entre parenthéses : le champ du pére Joseph, au bas de la vesvre ;il est autant magnifique que les siens, à ton ampére..... TU VAS PAS NOUS FAIRE COUFIR APRES LA BURALISTE MAINTENANT !!

 

 

29/11 23:55 ian.reino:» » L'électricité suite N° 18

 

Depuis que la nuit éxistait c'est à dire depuis la nuit des temps les peuples ont dissipé cette obscurité, tour à tour par la torche de bois, l'huile, la chandelle, le pétrole, le gaz, on avait maintenant, à portée de génératrice l'électricité d'un courant continu. Monsieur EDISON Thomas 1847-1931 Américain et inventeur, qui avait déja inventé le phonographe,et qui était au courant de cette production d'énergie, on ne pouvait pas l'étre moins !, encore plus bricolo que les autres, et mettant à profit les expériences de ses confréres, demanda à sa femme ( décidément Columbo n'a rien inventer,lui ) de lui fournir quelques longueurs de fil à coudre. Il fit tremper ces fils dans une solution de super glue ; pendant que ceux-ci s'imbibaient, il réduisit en poudre trés fine, genre farine quelques morceaux de charbon dit carbone dans laquelle il mixa ses fils bien superglutés qu'il mit ensuite à sécher en leur donnant toutes sortes de forme depuis l'accroche coeur, la queue de cochon, le double point d'interrogation, le ressort à boudin etc...... Il obtint ainsi des filaments de carbone. Il appliqua à l'un d'eux la tension issue de la génératrice puis à plusieurs de ces filaments chacun d'une longueur différente ; les uns rougirent pendant un certain temps les autres plus courts eurent un éclat plus vif mais plus bref, mais tous se consumérent rapidement. S'ils se consument ainsi, se dit-il, il doit y avoir un probléme d'oxygéne, si je fais la méme expérience en atmosphére neutre je n'aurais peut-être pas ce phénoméne de combustion ; il fit réaliser à la verrerie la plus proche, des sortes de petits ballons en verre vides d'air et enveloppant chacun un de ses filaments. Quand il appliqua la tension à l'extrémité des filaments qui passaient à travers le verre il obtint une lueur plus ou moins vive selon la longueur de ceux ci, mais qui dura : il venait de réaliser la premiére ampoule électrique à filament de carbone : l'ampoule à incandescence. Par la suite il jeta les bases du fonctionnement des tubes électroniques ( encore une histoire d'électrons surchauffés )........

HE ! DIDON ! T'AS PAS L'IMPRESSION QUE TU JOUES UN PEU AU PROFESSEUR NIMBUS OU A GEO TROUVETOU........TU AS DIT AU DEBUT QUE TU RACONTAIS UNE HISTOIRE, CERTES, JE NE M'ATTENDAIS PAS A UN CONTE DE FEE, A PART LA FEE ELECTRICITE, YEN NA QUI DISE, MAIS PAS A UN COURS DE PHYSIQUE, SOUVIENS TOI QUAND MEME QUE LES BONS CONTES FONT LES BONS AMIS !

Attention ! ne mélange pas tout ! j'ai dit au début "ce n'est pas une documentation technique ", ce qui laisse entendre qu'il y a du technique mais pas forcément une référence des réalités à considérer comme documentaire c'est plus un essai d'explications sur ce qui nnous environne.

T'AS LE CHIC POUR ENROBER AVEC DES RAISONS FILANDREUSES !

Tu m' embétes !!!!!!!!

 

Du fait qu'une ampoule pouvait éclairer et que cela se sut, la verrerie du coin créa un département ampoule et se mit à fabriquer à grand rendement ballon, filament, vide, le tout assemblé sur une embase de branchement. La fabrique de fil que Volta avait contacté se mit à fabriquer des génératrices et des conducteurs en fil de cuivre pour transporter l'électricite.

Des petits malins sentant la bonne affaire plantérent des supports sur lesquels ils tendirent les conducteurs. Les notables du pays, parecequ'ils avaient les moyens et qu'ils voulaient suivre la mode,l'un découlant de l'autre, voulurent étre les premiers à expérimenter cette lumineuse nouveauté. petit à petit tout le monde remisa la lampe à pétrole au grenier mais pas tout à fait car, de temps en temps, on se retrouvait dans le noir pendant des temps plus ou moins longs plutot pluss que moinss ! c'était alors la vengeance de la lampe à pétrole.

De parler, ou plutot d'écrire lampe à pétrole d'ou éclairage, ça me rappelle quand j'étais gamin et que j'habitais avec mes parents dans une ville de moyenne importance, l'éclairage des rues principales se faisait avec les becs de gaz dits réverbères. Ces réverbères de forme spéciale et agréable, puisqu'ils sont toujours à la mode pour éclairer électriquement actuellement, étaient, alors, composés à leur sommet d'un bruleur par lequel sortait le gaz enflammé encadré par des réflecteurs qui renvoyaient la lueur vers le sol, dans le coffre qui formait le pied un robinet permettait d'arréter l'arrivée du gaz et par là d'éteindre la flamme ; pour ce faire une personne dénommé,évidemment "l'allumeur de réverbères" muni d'une longue perche farcie d'une longue mêche syle lampe à pétrole, allumée à sa haute extrémité, faisait, à la tombée de la nuit la tournée de tous les réverbères pour leur communiquer sa flamme, et tous les matins il faisait la méme tournée pour tourner les robinets d'extinction des feux. Encore un petit métier qui s'est perdu !!.

 

 

30/11 22:49 ian.reino:» » L'électricité suite N° 19

 

Ah! ces réverbères ! providence du poivrot en mal d'équilibre,naufragé de l'élément liquide aggrippé au rocher sauveur émergeant de l'océan déchainé impossible à naviguer ; réverbère unique objet de sa stabilisation permettant à ce bienheureux de rassembler quelques notions d'équilibre pour viser l'appareil suivant et s'y propulser d'un démarrage et d'un pas hésitant bien souvent interrompu par la présence inopinée d'un malheureux passant servant de pilier intermédiaire, malheureux alors assailli par l'émanation d'un bredouillement inintelligible auréolé de vapeur d'alcool et de tabac rehausssé d'une pointe d'ail ; malheureux englué de la présence et des parfums arrivant non sans mal à se débarrassé de l'importun qui maugréant et zigzaguant poursuivait son incertain chemin vers une destination encore moins certaine.

 

Ah! ces réverbères ! providence du chien errant en mal d'épanchement, victime de la cruauté des hommes ayant supprimé, des villes, les arbres si pratiques et utiles à leur besoin naturel, remplacés,certes, par ces éléments métalliques qui sont aussi pratiques mais qui ont le désagrément d'éclabousser, mais qui, par contre, conservent mieux le fumet occasionné par le passage de ses prédesseurs ce qui fait que,méme si ce n'est pas une nécessité, un salut de la patte levée marque la reconnaissance et le remerciement pour une telle création. Il faut dire qu'à cette époque, des chiens il y en avait plein les rues, tout ce monde chien cavalait, gambadait en tous sens jappant joyeuseusement se grimpaient dessus au risque d'y rester coincé,ce qui arrivait fréquemment et que, gamins, nous contemplions avec la perplexité que peut faire naitre un animal à deux têtes,( par la suite nous connumes, avec moins de perplexité, la béte à deux dos ) et, au minimum se reniflant à qui mieux mieux,..... tiens à propos de renifler, une histoire de chiennes : " ma chére, est ce que vous connaissez ce grand lévrier blanc et beige qui, chaque jour, déjeune à la caisse à déchets du charcutier de la rue du chenil cossu je suis trés déçue je n'arrice pas à me faire renifler - ma pauvre chérie, mais oui je le connais mais ne soyez pas déçue il est d'un désagréable, il a toujours le nez gelé !.... j'ai parlé de caisses à déchets car les poubelles n'existaient pas, chacun avait son truc qui une caisse en bois qui un seau qui un sac de papier... ce qui faisait le bonheur de la gent chien et pas celui de la gent humaine à la vue des différents contenus éparpillés tout au long des trottoirs aprés un soigneux tri effectué par les intéressés.... le ski n'avait pas encore lancé son intoxication mais tous les piétons slaloomaient savamment entre les différents obstacles canins ou orduriens et méme, parfois, s'y croyant, glissaient......... il n'y avait pas de voitures comme maintenant, dans notre ville il y en avait deux : le médecin et le notaire,elles faisaient un tel boucan qu' on avait le temps, vu également leur peu de vitesse, de se mettre à l'abri, oui on disait se mettre à l'abri plutot que se garer car on se méfiait...... tout le reste c'était à pieds ou à cheval : les charettes avec une caisse ou une platte tirée à bras d'homme pour le transport des petits et moyens colis, entre autres, à la gare, il y en avait, on les appelait les commissionnaires, c'était gravé sur une plaque en laiton fixée sur leur casquette, ils attendaient les voyageurs pour transporter leurs bagages ou ils allaient à domicile chercher les bagages des personnes qui partaient ; les chars à un ou deux chevaux, les tombereaux, vastes bennes munies de grandes roues utilisées pour le le transport du gravier des pierres et le ramassage des ordures, tout cela tiré par des chevaux ; de bons gros percherons qui faisaient, au milieu des chaussées de bons gros tas de crottins fumants et odoriférants que le coiffeur et le marchand de bouchons du coin ( ils avaient des jardins) s'empressaient d'aller ramasser avec leur petite pelle et leur petit seau toujoours prét à l'emploi, chére matiére délicatement recueillie qu'ils s'empressaient, le temps aidant, de transformer en excellents poireaux salades tomates qui aprés avoir satisfait l'estomac de ces braves gens subisssaient la distillatiion de leurs organes et allaient à leur tour aider à fabriquer une bonne avoine que le cheval... le cercle est fermé, nature oblige ! Pour mener tous ces chevaux il y avait des charretiers, ce n'était pas donné à tout le monde d'étre charretier, il fallait savoir parler aux chevaux, c'était tout un art, le permis de conduire de nos jours c'est de la gniogniotte, c'était un parler bien spécial que seuls les chevaux comprenaient, des mots qu'il fallait hurler trés fort d'ou la néssécité d'avoir du coffre,mots qu' on interdisait aux enfants d'entendre c'était tout juste si les méres de famille ne se signaient pas quand, par mégarde, elles les entendaient ce dialecte s'appelait "le jurer", ce qui faisait qu'à cette époque, et toujours maintenant,on ne disait pas parler comme un charretier mais jurer comme un charretier.

 

OH !éh! T'AS PAS BIENTOT FINI AVEC TES GROSSIERETES ET TES DEGUEULASSERIES ALCOOL TABAC AIL CROTTINS CROTTES DE CHIEN JURONS.......ET PI QUOI ENCORE QU'EST CE QUE TU VAS NOUS SORTIR ?ON EST LOIN DE TES ERREMENTS PREVUS.

 

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